Israël vs Iran : un conflit d’une ampleur internationale

Dans la nuit du 12 juin, Israël frappe l’Iran. Enjeu nucléaire, ripostes massives, marchés en alerte… Une escalade éclair, entre diplomatie tendue.

Soirée du 12 juin : Les Signaux Précurseurs pour l'Iran

Pour continuer sur l’actualité de cette semaine.

En cette fin de journée du 12 juin, tandis que les bureaux fermaient, la diplomatie s’agitait discrètement, comme un chat mal réveillé sous la pluie.
Washington réaffirmait son attachement aux discussions avec l’Iran, en espérant que la tension ne dépasse pas le seuil diplomatique.
Pourtant, Donald Trump annonçait qu’une frappe israélienne pourrait très bien se produire, tout en appelant à patienter jusqu’à la fin des négociations.
Ce double discours, fidèle à son style, laissait planer un flou volontaire, comme une énigme géopolitique mal traduite.
En filigrane, une tension palpable s’installait, et l’Iran, bien que silencieux, devenait le centre invisible de toutes les inquiétudes.


Minuit : L’Opération Lion Ascendant lancée par Israël

À minuit pile Israël lançait l’opération Lion Ascendant. Les sites nucléaires ide l’Iran tel que Natanz et Fordow furent ciblés touchant au moins cinq bases principales ainsi que plusieurs hauts gradés de quoi gâcher une soirée pour ces derniers. En outre les frappes visaient aussi les défenses aériennes iraniennes réduisant considérablement leur capacité de riposte. Plus de 200 avions de chasse israéliens furent déployés dans cette manœuvre qualifiée de brutale par les analystes qui en passant avaient sorti leurs mouchoirs. La ligne rouge était franchie et sans vraiment demander la permission.

Premières Heures du 13 juin : L’Impact et la Réaction de l'Iran

Quelques heures plus tard les conséquences se faisaient sentir trois généraux iraniens étaient confirmés morts. En réponse l’Iran ripostait en envoyant une centaine de drones vers Israël autant dire une pluie de moustiques en colère. Les États-Unis tout en affirmant leur non participation ordonnaient le confinement de leurs diplomates une sorte de quarantaine diplomatique. Le Secrétaire d’État Rubio tentait de rassurer mais le chaos restait palpable comme un café trop corsé qu’on ne peut recracher.

L’Aube du 13 juin : Réveil Agité des Marchés

Dès l’aube les marchés réagissaient violemment le prix du pétrole bondissait de six pour cent à l’ouverture asiatique de quoi faire sourire les producteurs mais moins les conducteurs. L’or valeur refuge atteignait un nouveau record historique grimpant de trois pour cent l’once comme s’il voulait dire je vous l’avais bien dit. Les indices boursiers accusaient le coup le S&P500 chutait de deux virgule cinq pour cent et le Bitcoin dégringolait de sept pour cent les traders se frottaient les yeux pensant à une mauvaise blague.

Matinée du 13 juin : Menaces et Déclarations Musclées

Alors que la matinée avançait Téhéran promettait une réponse douloureuse accentuant encore le repli des marchés. Par ailleurs Donald Trump saluait les frappes israéliennes et dans son style inimitable incitait l’Iran à négocier avant qu’il ne reste plus rien. Ses propos ont rapidement fait le tour des écrans soulignant l’impact de chaque déclaration sur une crise déjà volatile comme une étincelle dans une poudrière.

Après-midi du 13 juin : La Tension Persiste

L’après-midi n’a apporté aucun répit. De nouvelles frappes ont été signalées près de Tabriz et Natanz et les pertes humaines s’alourdissaient hélas le compteur ne voulait pas s’arrêter. Les informations restaient floues entretenant un climat électrique à la fois incertain et explosif. Les investisseurs quant à eux demeuraient en alerte tandis que les gestionnaires de patrimoine révisaient leurs scénarios espérant que la diversification jouerait son rôle de bouclier.

12-13 juin : La nuit où l’équilibre a vacillé à Téhéran

En résumé cette nuit du 12 au 13 juin restera gravée comme un événement majeur aux répercussions stratégiques humaines et économiques considérables. Et comme on dit ce n’est pas la dernière page de ce chapitre qui est inquiétante mais bien la suivante. 

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                                                                                                                                Crédit photo : @ChatGPT

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